Pour des raisons de sécurité, les pilotes ont été obligés de réaliser un minimum de 5 tours consécutifs avec le pneu arrière le plus dur apporté par Michelin en Argentine, au choix, soit en FP1, soit en FP2.
Cette mesure prise par la Direction de course est destinée à s’assurer du bon comportement des pneus du manufacturier français après les déboires rencontrés par celui-ci l’année dernière sur cette piste sud-américaine très abrasive.
Un pilote qui ne se plierait à cette demande serait rétrogradé de six positions sur la grille de départ.